La dernière semaine de l’Avent, celle qui précède tout juste la Nativité, le magnificat chanté lors des vêpres est encadré par une grande antienne que la liturgie a coutume de déployer pour exalter la naissance toute proche du Fils de Dieu sur la terre. Ces sept antiennes, une différente chaque jour de la semaine, interpellent le sauveur qui vient par un de ses nombreux titres et commencent toutes par Ô. C’est pourquoi on les appelle les grandes antiennes Ô de l’Avent. Pour m’associer à votre préparation à la venue du Sauveur, je propose de commenter chacune de ces antiennes d’ici Noël au Moulin à Parole. Allons-y …
Ô Sagesse
